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Ressources pour une éducation queer et inclusive

Guide et manuel d’auto-défense – Organiser la lutte contre les discriminations à l’école

Faire face aux freins institutionnels et utiliser les bons leviers d’action

Document écrit collectivement par Queer Éducation.

Lorsque l’on souhaite s’engager dans une lutte efficace contre les discriminations, l’on se rend souvent compte que l’on maîtrise peu le cadre légal dans lequel les actions à mener peuvent s’inscrire, ce qui fragilise les projets que l’on désire porter. Ainsi ces derniers se trouvent être alors l’objet de critiques infondées ce qui à terme annihile toute volonté qui viserait à changer durablement le système éducatif dont nous sommes partie intégrante. Il n’est pas rare de voir tel ou tel projet retoqué car celui-ci s’inscrirait dans une démarche militante (le mot interdit!), prosélyte, idéologique (lui l’est tout autant) qui contreviendrait aux principes éthiques de l’Éducation Nationale. Certains personnels de direction se retrouvent notamment particulièrement réticents quand il s’agit de penser des actions pérennes qui ont pour objectif de s’éloigner quelque peu des interventions d’association – si souvent pertinentes malheureusement bien trop ponctuelles pour déjouer des mécanismes d’oppression durablement ancrés – arguant que les démarches proposées se verraient interrogées et combattues par les parents d’élèves entre autres invocations impertinentes. On l’aura compris : tout un argumentaire plutôt fallacieux existe afin d’empêcher la mise en place d’une lutte juste, efficace, intelligente contre les discriminations et nécessairement engagée.  

Et si nous n’avons que trop en tête les mots d’Audre Lorde qui nous rappellent que “l’on ne détruira jamais la maison du maître avec les outils du maître” et  que nous savons les faire nôtres, nous reconnaissons avoir parfois besoin d’une connaissance particulièrement rigoureuse de ces outils afin de déjouer des stratégies idéologiques souvent nauséabondes et de simplement survivre en milieu hostile.

Dans quel cadre légal la lutte contre les discriminations s’inscrit-elle à l’école?

Afin de parer aux arguments fallacieux que l’on pourrait vous objecter, il est bon de se référer au référentiel de compétences des enseignantᐧes datant du 25 juillet 2013 dans lequel il est stipulé dans la catégorie “Agir en éducateur responsable et selon des principes éthiques” que l’enseignant-e ainsi que l’ensemble des personnels éducatifs doivent “se mobiliser et mobiliser les élèves contre les stéréotypes et les discriminations de tout ordre” (Source : https://www.reseau-canope.fr/fileadmin/user_upload/Projets/Plan_egalite_filles-garcons/OEFG_03_referentiel.pdf ). 

La traduction de ce texte fait de la lutte contre les discriminations non une préconisation ni une invitation pédagogique mais un devoir et une obligation professionnelle pour les personnels éducatifs qui sont tenus de se conformer à ce référentiel.

Mais qu’en est-il dès lors de ma prétendue obligation de neutralité? 

Il est souvent fréquent de voir ce principe de neutralité invoqué lorsqu’on souhaite mettre en place des projets pédagogiques qui abordent de front la question des discriminations. Il constitue en lui-même un terme fourre-tout, assez flou, va-tout pour celleux qui tiendraient à contrecarrer notre engagement. 

Un petit point juridique s’impose et doit nous permettre de distinguer différents devoirs auxquels les personnels éducatifs et notamment les enseignant-es sont assujetti-es.

Rappelons tout d’abord que la liberté d’expression est garantie aux fonctionnaires par la loi Le Pors, tant que les propos du ou de la fonctionnaire n’engagent pas son administration. Cependant, il existe trois limites à cette liberté d’expression : 

  • Le devoir de réserve : ce dernier ne s’applique pas aux enseignant.e.s. Il est une construction jurisprudentielle (il n’existe pas de Loi qui définit strictement le devoir de réserve des fonctionnaires, mais les tribunaux, pour le sanctionner, s’appuient sur les décisions précédentes des tribunaux). Il s’applique uniquement (et à des degrés différents), aux fonctionnaires ayant une position hiérarchique plus élevée et est de plus en plus restrictif à mesure que l’on monte dans la hiérarchie. Il ne s’applique donc pas aux enseignant.e.s du premier et du second degré (y compris les directeur.ice.s d’écoles primaires). 
  • Le secret professionnel et le devoir de discrétion qui consiste à ne pas ébruiter des informations obtenues dans le cadre professionnel. 
  • Le principe de neutralité qui dispose que, dans l’exercice de leur fonction, les enseignant.e.s doivent être neutres et ne pas émettre d’opinion politiques ou religieuses.

Cette question de la neutralité est assez tendancieuse et problématique tant on sait que le savoir est le produit d’une situation sociale spécifique et qu’il n’est pas toujours objectif comme on le prétend abusivement [Cf. “Circulation et production des savoirs” Mona Gérardin-Laverge et Anne-Claire Collier]. Par ailleurs, si la lutte contre les discriminations est inscrite en tant que devoir dans le référentiel de compétences, elle ne peut être soumise de fait au principe de neutralité qui régit la vie professionnelle des personnels éducatifs. En ce sens, le devoir de neutralité imposé au corps professoral ne s’applique pas à la lutte contre les discriminations qui doit être effective et qui se voit encouragée au sein de l’Education Nationale. 

[…] Malgré tout, j’avais dans la tête que les
fonctionnaires font pas de fautes, pas parce que
le concours agirait magiquement et dus dès lors
que vous l’avez passé vous n’en faites plus, bien sûr
mais parce que l’orthographe, c’est quelque chose
d’extrêmement surveillé (c’est ce qu’on appelle le devoir de réserve).
Eh bien, ni l’un ni l’autre.
Il n’y a aucun texte de loi qui dise que le fonctionnaire
doit avoir une bonne orthographe. Y a bien une
légende, celle du décret de 1832. Mais ce fameux
décret, il a jamais existé que dans les têtes. Pareil
pour le devoir de réserve dans l’éducation nationale.
Y a aucun texte. Y a bien
un devoir de réserve dans l’armée, mais pas
dans l’éducation nationale ; c’est d’ailleurs la raison
pour laquelle un ministre a dernièrement inclus
un entre filet de loi dans lequel il précise que désormais
il y a un devoir d’exemplarité pour les profs
(c’est parce que des profs avaient un peu rechigné à sa
réforme ; il aime pas que ses profs rechignent). Du coup
le devoir de réserve dans l’éducation nationale
il a jamais existé que dans les têtes aussi.
C’est assez troublant quand même, cette manie
de s’inventer des lois qui n’existent pas dans le droit et
qui vont toutes dans le même sens de plus de
contraintes. Par exemple
(en tout cas dans l’éducation nationale)
on se met jamais à fantasmer des lois qui iraient vers
plus de liberté ou plus d’égalité. On se fabrique
son petit droit en interne
qui fait jouer le martinet. Plus royaliste que le roi.
Plus dirigeant que l’Etat. Plus
administrant que l’institution.
Plus répressif que la
police.
Un hamster à l’école, Nathalie Quintane, 2021

Il est donc notable de remarquer que tous les dispositifs de sensibilisation, de prévention à même de mobiliser les élèves contre les discriminations sont au demeurant soutenus par l’institution et peuvent même être salués et promus. Leur application est large et, il n’est pas précisé sous quel format cette lutte doit avoir lieu. Il y a tout à penser que la liberté pédagogique dont les enseignant-es disposent, leur garantit de concevoir des projets divers et variés sans contrainte particulière.

De plus, il convient de rappeler que le principe de neutralité vise à limiter le droit des fonctionnaires à émettre des opinions dans le cadre de leurs fonctions. Or, en France, la discrimination n’est pas une opinion, c’est un délit. En effet, la France reconnait vingt-cinq motifs de discrimination qui sont pénalisés. S’il est interdit de discriminer les individus, alors la seule position qui vaille, en tant que fonctionnaire, est de s’ériger contre les discriminations et de contribuer à la lutte contre ce délit en menant dans nos classes des projets de sensibilisation à cette question, en proposant un engagement efficace qui est, nous le croyons, profondément politique. 

L’on comprend dès lors que l’inscription dans les textes officiels de ce devoir de mobiliser élèves et enseignant-es contre les discriminations constitue dans la pensée politique de l’école, une pierre d’achoppement. Une lutte efficace ne peut en aucun cas se réduire à des interventions ponctuelles d’association si l’on continue à transmettre dans nos cours des contenus qui favorisent des biais racistes, lgbtphobes, grossophobes… C’est une forme de crise épistémique à laquelle nous semblons assister. Il paraît ainsi aberrant d’interdire l’usage de l’écriture inclusive quand nous savons que le langage participe du maintien de certaines oppressions.

Par où commencer?

Lorsque l’on commence à s’emparer de la question des discriminations dans une perspective pédagogique, l’on se rend souvent compte de l’ampleur de la tâche qui nous incombe, ce qui est parfois relativement décourageant. Il nous faut conjuguer les forces d’acteur-trices différent-es de l’établissement, éprouver et remettre en cause notre propre savoir, refondre notre pratique pédagogique, s’acquitter parfois de recherches laborieuses de références théoriques ou critiques… Cette partie est donc pensée comme un petit guide à destination de celleux qui voudraient s’engager dans une lutte contre les discriminations digne de ce nom sans pour autant les culpabiliser. 

Avant d’aller plus loin, une petite distinction s’impose entre outils et pratique, deux faces si l’on puit dire d’une même pièce : 

  • Les outils : ce sont tous les moyens dont vous disposez afin d’élaborer et de construire votre projet de lutte contre les discriminations. Ils peuvent prendre l’apparence de ressources pédagogiques (séquences, livrets thématiques…), de ressources critiques mais aussi être afférents au matériel dont vous disposez (tableau, documents, cartes, jeux…). Il est bon de rappeler qu’il ne constitue en aucun cas une fin en soi. 

  • La pratique: 

-« ce qui concerne l’action »

-« exercice d’une activité volontaire modifiant ce qui nous entoure »

-« capacité à déployer une énergie intentionnelle en vue d’une fin »

Disposer des meilleurs outils pédagogiques ne garantit en aucun cas la mise en place d’une pratique pédagogique éthique et soucieuse de lutter efficacement contre les discriminations. Aussi cette fiche d’auto-formation s’avèrera bien inefficace si elle n’est appréhendée que comme un outil. Il ne s’agit donc pas ici d’appliquer des recommandations à la lettre mais d’opérer des changements profonds dans notre pratique pédagogique. 

Engager une démarche conscientisante au sein de son établissement

Quelques pistes afin d’inscrire de manière pérenne la lutte contre les discriminations au sein de son établissement.

Une conscientisation personnelle 

Avant d’entamer tout projet de lutte contre les discriminations, il vous est nécessaire d’être conscient-e de la manière dont ces discriminations travaillent la société, la structurent et la défigurent. Il est impératif de lire et de se former sur le sujet – même si ce sujet vous est familier, d’acquérir des connaissances rigoureuses qu’il vous sera possible de convoquer lors de débats ou autres contestations de vos actions. Un connaissance fine et scientifique des questions traitées (statistiques, articles scientifiques proposant des études rigoureuses et sourcées…) paraît indispensable. 

Sites d’autoformation 

La chercheuse et sociologue Irène Pereira a développé un site d’autoformation qui propose par le biais d’étapes différentes (conscientisation, apport théorique, mise en situation…) de se familiariser avec la question des discriminations, celles-ci font l’objet d’un traitement différencié (racisme, pauvrophobie…) Elle consigne également sur son site des outils qui permettent d’analyser la manière dont les enseignant-es luttent contre les discriminations à l’école. 

→ Consulter “Les onze invariants de la pédagogie anti-discrimination” par Irène Pereira 

→ L’IRESMO propose régulièrement des formations sur le sujet https://iresmo.jimdofree.com/ (une mine d’or sur la question des pédagogies critiques!) 

Se former aux outils de l’éducation populaire

Si vous le pouvez, nous vous invitons à suivre des formations menées par des associations spécialisées. Les syndicats assurent aussi des temps de formation, soit ouverts aux adhérent-es soit ouvert-es à tous les personnels éducatifs (notamment les cellules locales et régionales de SudEducation). 

Sur instagram : @uneideedanslatete

Assurer une veille constante et régulière des données communiquées sur les discriminations 

→ Consulter fréquemment les préconisations et rapports du défenseur des droits à cette adresse : https://www.defenseurdesdroits.fr/ 

→ Se référer aux données transmises par les associations spécialisées sur certaines questions notamment les rapports édités annuellement

Soi-même face aux discriminations : prendre conscience de ses limites, échanger, demander de l’aide 

On le sait, enseigner, être auprès des jeunes s’apparente souvent à un travail thérapeutique. En retournant à l’école, nous cherchons à déjouer ce qui nous a empêché-e, opprimé-e, stigmatisé-e. Nous œuvrons pour laisser un monde différent de celui que nous avons traversé enfant. Mettre en place un projet visant à lutter contre les discriminations peut donc être remuant sinon bouleversant. 

  • Ayez conscience de vos propres limites. Quelles sont les situations qui vous paraissent encore difficiles à surmonter? Est-ce pour vous un problème si l’on apprend que vous êtes queer? Comment réagiriez-vous dans une séance de sensibilisation à destination des élèves si vous entendez fuser des insultes en classe? (Ne pas hésiter à aller consulter l’article « Faire son coming-out au travail », adossé aux recherches de Khayatt Didi)
  • Vous pouvez mettre en place des groupes d’échange de bonnes pratiques entre collègues. Avant les vacances, vous pouvez ainsi proposer un moment où chacun-e partage les problématiques rencontrées dans son quotidien et les solutions trouvées pour y remédier. 
  • S’inscrire aux groupes de parole proposés par Queer Education. A intervalles réguliers, l’association vous propose des temps d’échange autour de thématiques diverses. Vous pouvez envoyer un message à educationqueer@gmail.com afin de connaître les dates des prochaines séances. Si vous êtes adhérent-e, celles-ci figurent dans la lettre hebdo.
  • Le groupe privé sur facebook “Queer-Education” permet d’adresser aux membres de ce dernier des questions variées (recherche de contenus pédagogiques, retour d’expériences…). Vous pouvez consulter les anciennes publications en utilisant la section “recherche” et ainsi s’emparer des réponses données dans le passé. 

Eviter la culpabilisation : il est fréquent de se sentir démuni-es face à l’ampleur du travail qui nous attend, le sentiment d’impuissance est souvent le partenaire de nos combats. Essayons de nous montrer bienveillant-es vis-à-vis de nous-même et des actions poursuivies car, on le sait, les projets montés le souvent par les personnes qui sont les premières à faire les frais de ces systèmes oppressifs ! Valorisez ce que vous avez entrepris et faites-nous part de vos initiatives!

Des alliances à tisser : la force du collectif !

Lorsqu’on arrive dans un nouvel établissement, il est souvent ardu de s’atteler à la construction d’un projet ambitieux concernant la lutte contre les discriminations si l’on ne dispose pas de soutien infaillible. Essayez de sonder vos collègues et repérez ainsi celleux qui semblent partager les mêmes envies que vous. 

Les cellules syndicales sont souvent aussi des alliées de poids et bénéficient de connaissances juridiques souvent précieuses (en cas de litige ou de situations discriminantes…). 

Ainsi nous vous recommandons de consulter la brochure éditée par Sud Education traitant du lien entre LGBTQIA+ et Education Nationale

S’emparer des outils existants 

Avant de s’aventurer dans des projets chronophages et titanesques, nous vous invitons à bâtir des projets qui reprennent des initiatives que vous jugez inspirantes. 

Si votre direction reste frileuse à l’égard de la lutte que vous souhaitez engager, vous pouvez vous emparer des propositions plus institutionnelles. En les approchant de manière intelligente, elles permettent de court-circuiter certains obstacles interpersonnels et constituent un point de départ intéressant afin de remettre en question certaines dynamiques d’établissement. 

  • Le dispositif lié à la Mission Egalité Filles-Garçons et à l’égard de laquelle il s’agit d’être critique (fonctionne souvent sur le mode du bénévolat ou d’une rémunération indigente, pas de décharge pour l’exercice de la mission…)
  • Les concours souvent proposés par les chefs d’établissement : concours de la Ligue de l’enseignement, du Centre Hubertine Auclert… Ils sont nombreux et constituent des portes d’entrée parfois toutes trouvées pour assurer une légitimité à nos envies et à nos projets.
  • Les projets d’établissement 
Les interventions

En ce qui concerne les interventions d’associations, d’interventant.e.s, il faut distinguer :

  • Les interventions bénévoles : celles-ci nécessitent l’accord du/de la Proviseur.e dans le 2nd degré et du directeur qui en informe l’IEN dans le 1er degré
  • Les interventions rémunérées. Celles-ci nécessitent la signature d’une convention entre l’établissement (ou l’IEN dans le 1er degré) et l’association. Lorsque l’association est agréée, l’autorisation du/de la proviseur.e dans le 2nd degré suffit pour faire intervenir l’association. Une association non-agréée peut aussi intervenir en milieu scolaire, mais c’est plus difficile (d’où l’intérêt de l’agrément), il faut en effet, en plus de l’autorisation du/de la Proviseur.e, celle de l’Inspection. 

L’autorisation de la direction est, dans tous les cas, obligatoire.

Les intervenant.e.s extérieur.e.s peuvent venir ponctuellement dans la classe d’enseignant.e, mais au-delà de cela, l’établissement peut organiser des interventions en milieu scolaire à destination de l’ensemble des élèves d’un niveau.

Ces interventions sont souvent décidées en Comité d’Education à la Citoyenneté et à la Santé (CESC), puis une convention est votée en Conseil d’Administration.

Il est important, avant d’organiser une intervention en milieu scolaire, de se renseigner sur l’association que l’on souhaite faire intervenir et sur le message qu’elle porte. Il peut être ensuite utile de se rapprocher des élu.e.s du personnel pour faire voter ces interventions.

FORMATIONS

  • Formations assurées par le CRIPS (lutte vs vih/sida, éducation à la vie sexuelle et affective) d’ïle de France : https://www.lecrips-idf.net/ 

Autres formations liées à l’éducation populaire : 

Les structures et instances mobilisables dans un établissement

1er degré

    • Conseil d’école : https://eduscol.education.fr/2266/le-conseil-d-ecole-et-les-autres-instances-de-l-ecole 

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000028160058/

2nd degré

    • Se mobiliser dans le CESC : Le comité d’éducation à la santé et à la citoyenneté : le pan citoyenneté, lutte contre la violence : vs harcèlement dont une part LGBTQIA-phobes  https://eduscol.education.fr/2277/le-comite-d-education-la-sante-et-la-citoyennete-cesc   

https://www.education.gouv.fr/bo/16/Hebdo30/MENE1621031C.htm?cid_bo=105518
  • CHSCT : comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail 

Les voies d’entrée pédagogiques

    • L’EMC : https://www.education.gouv.fr/bo/18/Hebdo30/MENE1820170A.htm?cid_bo=132982  

https://www.education.gouv.fr/bo/19/Special1/MENE1901572A.htm?cid_bo=138115

    • L’EMI : sur la question des cyberviolences, biais algorithmiques, de la liberté de la presse ect…

    • L’éducation à la sexualité et la vie affective (notamment voir si de l’information est accessible au CDI ou dans le pôle médico-social et pas uniquement hétéronormé et cis-centré) : https://www.education.gouv.fr/bo/18/Hebdo33/MENE1824340C.htm?cid_bo=133890  

https://eduscol.education.fr/2346/sante
https://eduscol.education.fr/2083/je-souhaite-me-former-et-obtenir-des-ressources-pour-preparer-des-seances-sur-l-education-la-sexualite

    • CVL : conseil de vie lycéenne qui dispose de fonds propres ET CVC : conseil de vie collégienne : https://eduscol.education.fr/2276/le-conseil-de-la-vie-collegienne-et-le-conseil-de-la-vie-lyceenne

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